Les visages féminins du marketing d’influence sur Twitter en 2019
Nous avons souhaité mettre à l’honneur les femmes qui font parler et qui ont un fort leadership sur Twitter (dans la sphère marketing) car, au delà d’un enjeu sociétal, l’inspiration se puise dans la vivacité des parcours de vie et dans la diversité. Et nous nous nourrissons tous d’inspiration au quotidien. Cela, c’était le point de départ du premier classement que nous avions réalisé en 2018.
Si le terme « classement » a été adopté par commodité il n’est par ailleurs pas correct, car l’idée n’était pas tant de hiérarchiser des places sur la simple base de performances clés que d’avoir une vraie mise en lumière de talents via un top, là où les profils numériques masculins demeurent malgré tout dominants.
Notre Top des influenceuses marketing sur Twitter en 2019
L’édition 2019 de ce classement, que voici ci-après, est donc rafraîchie et pondérée au regard de différents critères, tenant tant à un certain scoring d’influence que l’activité et la qualité globale de la TL de comptes nominatifs. Nous nous sommes servis notamment des outils de Brandwatch dont Audiences cette année (il s’agit d’une base de données de plus de 300 millions d’utilisateurs Twitter afin d’identifier les influenceurs et les tendances notamment). A noter ici que malgré notre méthodologie à vouloir être au plus près de la réalité, il comprend aussi une mince part de subjectivité.
Tout l’intérêt demeurait pour nous derrière d’en faire un liant et donner la parole à ces femmes, afin qu’elles nous partagent leur expérience et leur vision quant à leur activité de communicantes sur Twitter. C’est ainsi que l’évènement #RDVLEW n°6 a été pensé et posé ce mercredi 18/09. Et nous remercions plus que vivement toutes nos invitées d’avoir répondu présentes, car rien n’aurait été aussi pertinent sans elles.
RDVLEW n°6 : le visage féminin du marketing d’influence sur Twitter
18h30. Nous sommes au Campus de Sciences-U de Lyon : après une courte introduction (Maud & Anthony Rochand – LEW), c’est Tiphaine Frugier, accompagnée de Marion Puertas, qui a pris la parole pour une conférence autour des activités de Girlz In Web. La Vice-Présidente de l’association, qui pilote aussi l’antenne lyonnaise, nous rappelle que « mettre en valeur les femmes qui font carrière dans les nouvelles techniques et le numérique », après 10 d’existence, est toujours autant d’actualité.
Nous avons ensuite animé les keynotes qui se sont terminées à 20h30. Un cocktail networking a suivi en dernier lieu afin que tous les participants puissent partager ensemble un moment de convivialité.
2 keynotes thématiques sur les différents visages de l’influence
La première Keynote concernait notamment les intérêts et les perspectives offertes par une présence sur Twitter : Catherine Cervoni et Martine Le Jossec se sont confiées sur ce qui les animaient et leur vision de ce canal.
Avec Catherine (@CathCervoni), il a été souligné qu’expertise et influence ne vont pas forcément de pair et que ce terme est à manipuler avec beaucoup de précautions. Qu’il y a « IA et IA », que ceux qui en parlent le plus peuvent être ceux qui en « mangent » le moins (clin d’oeil à Mc Cain), que la régularité et l’authenticité priment dans toute saine relation sur Twitter si on veut durer : en effet, les bonnes choses prennent du temps.
Avec Martine (@loutro1990) nous aurons partagé sa vision pleinement sociale du réseau Twitter : en tant que bonne ultra-sociale, elle revendique ses #TweetAlaMano (hashtag crée par Nathalie Wolff), et un nombre important de following dans le cadre de son ouverture à l’autre. C’est un vrai moteur dans ses activités. Pour elle, Twitter est aussi un « révélateur » en ce qui concerne la nature des gens, elle nous a dans ce cadre partagé ses préconisations face aux « haters ».
La deuxième Keynote concernait la place de l’homme quant à la technologie, ses avantages et ses inconvénients. Nadia Alves et Mallys nous ont partagé leur expérience et leur sentiment sur le devenir de l’influence.
Avec Nadia (@Nad_Alves), nous aurons parlé de la nécessité d’une bonne veille pour anticiper et gérer une éventuelle crise. Le choix d’une présence sur Twitter n’est pas anodin, il engage une marque, c’est un média conversationnel avant tout. Elle enjoint aussi, dans un pertinent paradoxe, de ne pas se prendre trop au sérieux pour les marques et voit une réelle opportunité pour notre société sur le développement et l’influence de la #TechForGood … Attention cependant de ne pas basculer d’ici quelques années dans le « #TechForGoodWashing ».
Enfin avec Mallys (@mallys_), il aura été souligné que le plus important est de respecter sa communauté et demeurer dans un échange constructif qui soit tangible (humilité, patience, persévérance, transparence sont ses mots-clés). Elle fournit à cet effet beaucoup de contenu utile par le biais de son blog où elle aborde des sujets liés à l’IA ou encore aux objets connectés par exemple. Elle a notamment écrit un article concernant notre RDVLEW et y donne ses tips pour être influent(e).
🙌🏼 Ravie d’intervenir ce soir aux côtés de @loutro1990 @mallys_ @CathCervoni et @AddictTiph @giwlyon : le visage féminin de l’influence sur #Twitter
Merci à @AnthonyRochand et @ModJenn pour cette invitation … #RDVLEW pic.twitter.com/RmiKbqjqhx
— ⭐️⭐️ Nadia Bahhar-Alves (@Nad_Alves) September 18, 2019
Quelques tips de @loutro1990 :
📍Des bons hashtags
📍Taguer les bonnes personnes (sans en abuser)
📍Et seulement du #TweetALaMano @AnthonyRochand @ModJenn #RDVLEW pic.twitter.com/XDCUkLib0i— Nathalie Wolff 🤳 (@nwolff) September 18, 2019
#RDVLEW « la notion d’engagement est à prendre en compte sur la base de valeur et de partage. Comme le dit @DelpheF dans “social média » il y a social » pic.twitter.com/nLxcXmflMU
— ⭐️⭐️ Nadia Bahhar-Alves (@Nad_Alves) September 18, 2019